La semaine en vrac
*Quelques petites mises au point début de semaine, et on repart d'un bon pied... Un petit resto à deux (avant trois semaines de pénurie de baby-sitter !), resto dont nous allons, je crois, finir par faire notre cantine. Et là, découverte incroyable : les moules, que je cuisinais à l'échalote, je les trouve cent fois meilleures à l'ail (et vous ? ;-) ! Un fondant au chocolat qui traîne et arrive le cuisinier, penaud : il l'a raté, ce fondant, pouvons-nous attendre qu'il le recommence ? Of course (trop contents de voir que tout se fait à la demande) ! Nous avons bien fait : il était aussi parfait que ma torche aux marrons était fraîche ! Huuum, quand est-ce qu'on y retourne ?!
*Côté marmots, grande nouveauté côté jeux d'école : exit les pokémoches et autres bodybuildés travestis (bien que nous ayons été assez épargnés), ils ont inventé un jeu tout nouveau et parfaitement inattendu... LES BILLES ! Pffff, et ils se croient créatifs, ces petits ! ;-) (Cela dit, je dois bien avouer que leurs règles sont loin de celles que j'avais connues jadis...)
*Vie et mort d'une mante religieuse... elle avait élu domicile sur notre porte d'entrée, lundi, mardi, mercredi, nous laissant l'examiner sous toutes les coutures. Jeudi, nous l'avons retrouvée à quelques pas de là, à moitié écrabouillée sur le sol, au grand désespoir de mon Caramel, grand ami des bêtes (mais tout de même, le pauvre chou, s'attacher à une mante religieuse... j'espère que cela ne prédispose en rien de sa future vie affective... ;-).
*Une semaine pleine de monde, des amis qui vont bien et d'autres moins, que la vie est féroce pour certains...
*Plaisirs solitaires : trouvé une écharpe toute douce comme je voulais, bien féminine et dans un joli mauve grisé (oh, elle ne vaut pas la splendeur de Christiane, mais elle me plaît bien quand même). J'aime les écharpes presque autant que les chaussures, mais je me lâche plus facilement sur les premières, restrictions budgétaires obligent...
Et puis j'ai enfin vu L'arbre... beau comme je l'espérais. Ces plans contemplatifs, ce vent dans les branches infinies, j'y ai trouvé une belle métaphore sur ce qu'il nous faut accepter de lâcher pour continuer à vivre après un deuil... Comme cela me parle !