Le pied !

Je ne sais pas ce que j'ai préféré : mon homme teeeeellement volubile avant le décollage, l'océan déchaîné, le flash-back sur notre Nouvel-An 2000 à l'embarcadère pour Belle-Isle, ma crêpe aux Saint-Jacques, les discussions de nanas (chaussures, ex -du collège, hein !-...) à l'arrière de la voiture, cet endroit magique où ils nous ont invités (cette vaisselle, rhâââ !), la tisane du soir, les croquants au caramel de la trinitaine, les embruns salés, voir notre maison d'en-haut, les noix de macadamia fraîches dans le dessert choco-litchi, les fous-rires (le mot-fil-conducteur du week-end nous en a servi !), dîner à côté d'une paire de Louboutin (ce qui m'a fait deviner qu'à côté de nous se trouvait une famille de rock-stars...), dormir toute la nuit d'une traite, avoir des discussions d'adultes sans être interrompus, les bateaux, n'avoir ni heure ni contrainte, un Perrier presque en terrasse, les pintades, la librairie aux trésors...

On ne se l'était jamais autorisé, ce saut-de-puce à deux à l'autre bout de la France pour s'y retrouver à quatre. Je crois bien qu'on va le refaire. :-)

Comments

[mim_]

@ Névrosia : Il me semble que c'est mon amie E. qui a prononcé "Easyjet" pour la première fois, mais comment dire, très vite je me suis approprié l'idée, vivement soutenue par mon homme, malgré son mal des transports ! ;-)

[Nevrosia]

Qui a eu cette belle idée ?

[mim_]

Et Cookloubabette, bienvenue à ton petit homme, impossible de déposer un mot chez toi !

[mim_]

@ Anne : Ooooh que oui !



@ sophie : Comme tu dis ! :-)



@ Carmen : J'ai profité, beaucoup... c'est déjà loin !



@ Cookloubabette : Je les retrouve quand je ferme les yeux...

[cookloubabette]

Je sentirais presque les embruns jusqu'ici...